Le conseiller municipal Daouda Wilane, non moins enseignant de profession, dans une déclaration que nous vous proposons in extenso, prend fait et cause pour le député maire de Kaffrine Abdoulaye Wilane. Pour le conseiller municipal, le maire de la capitale du Ndoucoumane a toujours servi la communauté éducative de la commune de Kaffrine. N’en déplaise à ses détracteurs « haineux ». Mieux, le maire a pris en charge toute la restauration des enseignants dans le cadre de l’examen du CFEE…
« Pourquoi tant de haine dans une localité où la préoccupation devrait tourner autour de la question du comment pouvons-nous nous développer ? Oui, le Maire, l’honorable député s’est toujours illustré en Bien !
Surtout quand il s’agit de compétences qui lui sont transférées et particulièrement la question de l’éducation. Le Maire et son équipe se sont toujours acquittés avec diligence de toutes commandes relatives à l’éducation. En temps réel, toutes nos écoles ont toujours reçu leur dotation en fournitures, les comités de gestion appuyés, le paquet de service (eau, électricité, femme de charge, gardien) assuré pour chaque école, sans oublier les bourses et aides scolaires octroyées à nos élèves dont les parents sont en difficultés, les diverses participations en dépenses d’enseignement et récemment l’appui destiné à l’association des parents d’élèves pour accompagner les vaillants soldats de la craie dans les centres d’examen du CFEE. Heureusement, à peine décriés par un oiseau de mauvais augure dont je tairai le nom, des enseignants reconnus par leurs compétences et leur sens professionnels ont vite réagi : « Le Maire Abdoulaye Vilane vient de sauver l’honneur en assurant la restauration et le rafraîchissement des surveillants… » Le pédagogue disait: devant l’enfant, je suis animé par deux sentiments : un sentiment de pitié parce qu’il est faible et un sentiment de respect de par ce qu’il deviendra. Mais moi, par sentiment de pitié, je dirais quelques mots à l’endroit de ce jeune qui ne doit pas être jugé mais plutôt compris car étant sous l’appât ourdi de ces loups politiques qui ne sont obnubilés que par le pouvoir. Cher frère, il est de votre devoir le plus absolu d’adhérer à un parti de votre choix et nul ne doit vous y contraindre.
Mais que l’amour de votre localité prenne le dessus sur vos prises de positions partisanes.
Campez vous en sentinelles face à la déréliction des valeurs citoyennes et patriotiques. Battez vous pour la République et non pour des individualités car de toute évidence, seule la nation mérite qu’on s’apitoie sur son sort. Veillez à ce que le cancer de la mal gouvernance ne répande ses métastases ni dans votre parti, ni dans la marche du pays.
Mon frère, la jeunesse c’est la force, c’est innovation et des invectives et des injures. Ce n’est point la haine !
N’accepte point de jeter l’oppobre sur l’autre pour des personnes qui ne se servent de vous qu’en appoint pour arriver à des fins crypto -personnelles.
Moussa SENE