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AFFAIRE PARC DE LOISIRS DE SINDIA OPPOSANT M. DELAT A THIERNO DIAGNE: Nay Leer Sénégal mouille le maire de Sindia

La plate-forme Nay Leer Sénégal sonne la riposte contre M. Thierno Diagne, maire de Sindia qu’il accuse d’avoir escroqué et grugé le promoteur étranger Michel DELAT sur un terrain sur lequel l’homme d’affaires voulait construire un parc de loisirs pour les jeunes et les enfants de Sindia. « Nous sommes venus aujourdhui à Sindia pour apporter notre soutien à Michel Delat qui a un vieux contentieux avec Thierno Diagne Maire de la commune de Sindia. D’un commun accord, il avait donné à M. Delat un terrain moyennant 50 000 euros. Celui-ci avait aussi payé les travaux de terrassement. A la surprise de M. Delat, ce terrain a été cédé par M. Thierno Diagne à quelqu’un d’autre qui détiendrait des papiers. M. Delat a suivi le dossier contre M. Diagne qui se croit « intouchable » parce que proche du président de la République. Nous estimons que le Sénégal est un état de droit, M. Delat voulait construire un espace de loisirs pour les enfants à l’instar de Magic Land, mais à sa grande surprise, le maire l’a escroqué et lui a causé un préjudice énorme, même sa santé s’est dangereusement dégradée, et il utilise un appareil défibrillateur pour respirer. C’est pourquoi Nay Leer Sénégal interpelle le président de la République pour régler ce contentieux Thierno Diagne-Michel Delat. Si ce litige n’est pas réglé, cela risque d’être un précédent dangereux. M. Delat aurait pu créer plus de 100 emplois, mais ce maire immoral de Moustapha Diagne, sans scrupule lui a fait un sale coup. Nous allons porter plainte à l’OFNAC pour tirer l’affaire au clair parce que celui à qui on a finalement donné ce terrain est en train de construire sans papiers légaux… », a condamné Pape Simakha de Nay Leer Sénégal.

 

DÉCLARATION DE M. DELAT

 

En 2009, suite à ma visite au Sénégal, j’ai constaté le besoin de créer un lieu où tous pourrait venir voir les nouveautés au niveau de l’artisanat, des jeux etc…
Pour ce faire rien de tel qu’un parc de loisirs adapté aux conditions climatique, environnemental, technique.
Le choix d’achat de 10 hectares pour réaliser ce beau projet avec un maximum de chance de réussite est l’emplacement, primordial, pour ce faire le site a été choisi après de nombreuses visites accompagnés d’individus mal intentionnés dont Mr Babacar de Mbour qui me proposait 25 hectares à l’endroit même qui allait posé tant de soucis par la suite!
Après avoir consulté la communauté rurale de Sindia (autorité Sénégalaise) sous la présidence de monsieur Ousmane Low qui me proposait moyennant 50.000€, 6 hectares seulement, j’ai tenté en vain d’avoir les 4 hectares manquants.
Lors de la réunion pour conclure, Mr Thierno Diagne, Séllé, et autres personnes qui ne se sont pas présentés, j’ai payé en espèces, la somme requise, alors que j’avais un compte bancaire et chèque, qu’ils n’ont pas voulu.
Un virement de 100.000€ a été effectué à la CBAO, pour payer les 10 hectares (prévus) ainsi que les frais annexes.
J’ai également régler les frais de nettoyage, bornage qui
était sans arrêt démoli.
Une somme importante a été investit en Europe pour la mise en oeuvre du projet, frais de déplacement, de recherche, pour beaucoup de produits UNIQUES comme une friandise mis au point pour le parc, “Pépite de Bandia”, pizza volcan, potager Américain, batiment canard, le mini golf, le labyrinthe, etc…
J’ai tenté de contacté en 2009, la Sapco, pour connaître la situation afin d’avoir un titre foncier.

Le plan avait soi-disant de nombreux propriétaires, il m’aurait
été impossible de négocier avec eux, en fait, premier mensonge car L’E.S.B.A.F qui détenait le terrain était une coquille vide, et n’existait que sur le papier!!!
Lors de cette réunion, j’ai insisté de savoir si la vente était possible car deux panneaux rouillés étaient plantés, un indiquant, qu’il s’agissait d’une zone “verte”, l’autre panneau “E.S.B.A.F”.
Ensuite j’ai appris beaucoup plus tard que le témoin du vendeur était en réalité l’homme de paille de la communauté rurale.
J’ai finalement conclu l’affaire en espérant pouvoir compter sur
la justice et l’Etat Sénégalais pour éventuellement régler le litige,
si litige il y aurait plus tard.
Ce qui comptait avant tout, former er donner du travail à cent personnes et faire travailler les sous-traitants, fournisseurs (pécheurs- agriculteurs, fermiers), des concours, jeux organisés pour les maçons, menuisiers, couturiers, ferronniers, pour faire gagner du matériels professionnels, poste a souder, bétonnière, scies électriques….
J’ai donc reçu un plan cadastral, peu de temps après, un enclos a été construit au bout du terrain qui empéchait tout dévelop- pement possible.
J’ai payé les “peines” à Mr SELLE pour la partie prise et construite en priorité, vous constaterez sur les photos satelites, l’espace disponible, donc pourquoi vouloir a tout prix faire soi-disant une Zone Industrielle là, a part pour saboter le projet!
L’investissement total de 1.600.000€ et aurait rapporté des impôts et taxes….
Le lieu était parfait, à l’entrée du parc de Bandia, a côté d’un projet de circuit de moto-cross, à 5 minutes d’Acrobaobob et
du campement Baobob soleil, pas trop éloigné de Mbour,
Les singes de la réserve venant de la réserve de Bandia aurait fait une attraction, mais aussi les voleurs de vaches tuaient ces dernières, les bergers passaient sur le terrain, il fallait attendre le plus tard possible pour éviter tout saccage d’une clôture!
Le long de la route offrant une excellente visibilité, la ligne électrique déjà installé, pas de baobabs et un terrain parsemé déjà d’arbres, et puis le nouvel aéroport.

Ce pôle pouvant être rapidement un atout touristique de plus. Les écoles étaient intéréssés, les comités d’entreprises et autres clientèles de Dakar, l’Ambassade Belge pour y fêter la
St Nicolas. Et d’autres nationalités pour faire les fêtes nationales.
Ce qui est anormal et qui ma encore convaincu de la tournure négative du projet, était L’IMPOSSIBILITE de dialogue avec la communauté rurale entre 2009 et fin 2014.
Fin 2014, après deux mois sur place pour finaliser le projet en créant l’association “Sénégalavenir” dont Monsieur Assane Dione devait être président, j’ai réussi a avoir rendez vous avec Monsieur Thierno Diagne pour le féliciter, espérant une étroite collaboration, et je suis convaincu qu’il attendait une renumé- ration supplémentaire, et c’est 15 jours après qu’il a décidé de raser le terrain et de le vendre sans aucune forme de procès.
Dans un premier temps il ma indiqué avoir voulu me faire plaisir et ceci en me téléphonant du Sénégal, cas unique!, Cette spoliation ma fait un choc émotionnel fort, jusqu’à mettre ma vie en danger avec un gros problème cardiaque, et depuis
je suis suivi médicalement a vie, avec pose d’un défibrilateur et sten, incapacité, médicaments journaliers a vie!
Merci Monsieur le Maire….
Depuis trois ans, le dossier passe de bureaux en bureaux!
Depuis toujours j’ai tenté d’avoir le soutien de l’administration pour trouver des personnalités du football, politique, musical, qui auraient ainsi été partenaires du projet pour réaliser en Afrique des parcs identiques au Gabon, Bénin, Côte d’Ivoire, Cameroun, avec des Africains pour les Africains!.
J’ai tente en vain de contacter Monsieur Youssou Ndour, Pape Diouf ex président de l’OM, Pape Diouf, Chanteur bien connu..
Ces parcs apporteraient la culture, la connaissance florale, artisanale que la jeunesse oublie trop souvent.

Les entreprises “SPRINT SHOP”, “ Mr tee”, avaient déjà prix la décision de prendre des boutiques au sein du parc, pour en même temps faire de la formation technique, les autres emplacements réservés aux Sénégalais(e)s voulant vendre des produits du pays mis en valeur par différents biais.
Maintenant, face a mes partenaires de la chambre de com- merce Franco-Sénégalaise, je suis contraint d’admettre
qu’ils avaient raison, et que le Sénégal, n’était sans doute pas le pays, le plus apte a recevoir ce projet, je sais que le Président fais évoluer les règles avec justement ce véritable problème
de terrain!.
Mr Thierno et son équipe sont très critiqué par les citoyens, ma demande d’indémnisation lui donnera je l’espère à réfléchir!
Ce sont des pratiques qui ne sont pas dignes d’une démocratie, pays de droit.
Mes amis journalistes souhaitent répandre l’information négative du Sénégal, par le biais de revues, internet et réseaux sociaux pour mettre en garde, mais surtout que ce genre d’aventure
ne se pose plus, car mon cas n’est pas unique.
Alors que faire? Pensez vous régler ce litige rapidement?.
Veuillez, Monsieur, agréer mes salutations distinguées.

Moussa SENE