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CITE DANS UNE AFFAIRE DE CONTREFAÇON DE BILLETS DE BANQUE : Pape Diop « plaide » non coupable

Suite à l’information distillée hier dans certains journaux faisant état d’une probable implication du président Pape Diop dans une affaire de contrefaçon de billets de banque à hauteur de 1 500 milliards de nos francs, le leader de Bokk Gis Gis dit être innocent face à ses accusations. Dans un communiqué dont L’Evidence détient copie, il bat en brèche ces allégations l’impliquant dans cette affaire de faux billets et dit être à la disposition de la Section de recherches de la Gendarmerie pour les besoins de l’enquête. Sur ce, du fait de la légèreté du prétexte invoqué pour le citer dans cette affaire, il a décidé d’enclencher une procédure judiciaire pour laver son honneur éclaboussé par ses accusateurs. Le leader de Bokk Gis Gis s’est exprimé dans ce communiqué que nous vous proposons in extenso.

« La presse a fait état ce jour d’une affaire de contrefaçon de signes monétaires et de blanchiment de capitaux dans laquelle, j’aurais été cité par l’un des mis en cause lors de l’enquête préliminaire. Je suis à la fois surpris, meurtri et profondément choqué par le fait que mon nom ait pu être mêlé à cette affaire que j’ai eu à découvrir en même temps que tout le monde dans la presse de ce matin.
Je suis d’autant plus choqué que je trouve très léger le prétexte invoqué pour me citer dans l’affaire. Il semblerait en effet que c’est l’un des mis en cause qui aurait dit simplement un jour à l’un de ses acolytes que les billets à laver m’appartiendraient ainsi qu’à Farba Senghor.
Je tiens à préciser que ma réputation et mon honorabilité ne peuvent être ternies par une déclaration aussi fantaisiste faite en désespoir de cause par un prévenu durant son audition par les enquêteurs.
Concernant l’enquête en question, je me tiens personnellement à la disposition de la section de recherches de la Gendarmerie qui pourra, le cas échéant, m’entendre pour voir si j’ai pu avoir un lien quelconque avec cette bande de malfaiteurs.
Je me réserve enfin le droit d’engager une action en justice pour laver totalement mon honneur dans cette affaire.»
MN