Les anciens du lycée technique El Hadji Abdoulaye Niass de Kaolack n’ont pas oublié leur ancien établissement. Dans un élan de gratitude et de reconnaissance, ces anciens pensionnaire du lycée technique El Hadji Abdoulaye Niass ont casqué trois (3) millions pour financer des travaux dans l’établissement dirigé par le tout nouveau proviseur, M. Alassane Djigo. Très fier de cet acte posé par les anciens pensionnaire du lycée technique El Hadji Abdoulaye Niass, le proviseur Alassane Djigo s’en réjouit. « Pour moi, l’acte que les anciens ont posé a une signification particulière. C’est un acte qui a d’abord une signification morale que le fait de se sentir obligé, ou une obligation morale de revenir chez soi pour pouvoir faire des actes de noblesse. Je crois que ça c’est la signification première que je voudrais attribuer à cet acte. Mais je voudrais profiter de cette occasion pour faire des remerciements à l’endroit d’abord du président du Conseil départemental de Kaolack qui, avant même, ma nomination comme proviseur, a toujours chercher à soutenir le lycée El Hadji Abdoulaye Niass étant entendu que le lycée est également sous la tutelle administrative du Conseil départemental, mais il est arrivé un moment où j’ai senti l’appropriation du Conseil départemental pour la gestion de ce lycée. Le président nous a gratifié de bibliothèque virtuelle, et il nous a gratifié de beaucoup d’actions qui devraient aller dans le se sens de développer les enseignements-apprentissages. A la suite du Conseil départemental, l’inspection d’académie, à sa tête l’inspecteur Siaka Goudiaby qui également depuis sa nomination comme inspecteur d’académie de Kaolack, nous manifeste un intérêt et un soutien. N’eut été sa diligence et sa promptitude, tous ces travaux auraient pu ne pas démarrer à de pareils moments parce que nous étions en pleine crise de Covid- 19 au moment où on sollicitait l’approbation de l’IA pour pouvoir démarrer ces travaux. Un appel que je voudrais lancer à l’endroit des élèves, c’est un appel de faire de ces joyaux un bon usage pour ces anciens qui ont pensé le faire à coups de millions, l’investissement n’es pas minime, ça avoisine plus de trois millions. C’est quelque chose d’important », magnifie le proviseur Alassane Djigo.
Moussa SENE