La pollution industrielle ne saurait résoudre sans l’engagement de la communauté.
Il y a des lois et des textes qui encadre. À titre personnel il faut que les acteurs de parlent.
Aujourd’hui nous avons un écosystème qui est entrain de se détruire par manque de prise de conscience des communautés.
Il est nécessaire de prendre des dispositions et des sanctions. Il faut des mesures d’accompagnement afin d’éviter cette pollution.
Aujourd’hui nous organisons un atelier de diagnostic entre les Etats frontaliers du Sénégal pour identifier les problèmes.
On parle de changement climatique qui va très vite avec les phénomènes d’inondations que nous vivons aujourd’hui.
Selon le Colonel Mamadou Sidibé Directeur des aires marines protégées au niveau du ministère de l’environnement, cet atelier sous régional d’aujourd’hui à un double sens: dans le cadre de la gestion des ressources marines et côtières et la gestion communautaire.
Pour Bacary Mbaye coordonnateur national du programme micro financement du fond pour l’environnement mondiale, un programme du PNUD.
<< Ce programme est dédié aux organisations communautaire de base.
Les problèmes environnementaux aujourd’hui affectent les communautés à la base.
Ce programme est destiné à soutenir ces initiatives pour que à côté des efforts que les Etats et les gouvernements fournissent dans la protection de l’environnement, qu’on puisse mettre ensemble les deux options.
Aujourd’hui le programme travail dans 127 pays >>.
Adja Djité