Société

« NOËL DES ANGES »: Mme Diogo Marthe Mariane Dacougna gâte les enfants démunis

Le complexe Magic Land a abrité ce week-end le « Noël des Anges ». Un moment pour la présidente de l’Association Solidarité Ak Yow, Mme Matou Marthe Mariane DIOGO , d’offrir des cadeaux aux enfants démunis, handicapés mais aussi aux enfants de la rue. « Chaque année, on organise un Noël pour les enfants démunis. Cela fait 10 ans qu’on le fait; et depuis trois ans on les amène à Magic Land parce qu’on trouve que dans les centres c’est monotone, ici ils s’amusent, ils s’éclatent… Donc on passe une journée avec eux. Ils vont manger, danser et rentrer avec leurs cadeaux », a laissé entendre Mme Diogo. Une vraie dame de coeur, Mme Diogo fait du mieux-être des enfants son cheval de bataille. En cela elle est soutenue par des partenaires qui ont mis la main à la pâte. « C’est des partenaires, des amis, des inconnus qui nous soutiennent dans ce projet. Nous avons des partenaires qui sont là: la BHS, la Casamancaise, Wave, 3FTP MAGIC LAND, ORCA et beaucoup d’autres partenaires comme REINE FABIOLA, HERTZ LES MARISTES et des volontaires anonymes pour les bus. Et on ne les remerciera jamais assez… », a notamment dit Mme DIOGO. « On travaille directement avec les centres d’accueil, les orphinats et les pouponnières. Et chaque année, on essaie d’introduire d’autres centres, il y en a beaucoup ici à Dakar. On en a une quinzaine avec lesquels on travaille directement. On veut faire en sorte que tout le monde en profite… On cible les enfants handicapés, les orphelins, les enfants de la rue… Ils sont aujourd’hui au nombre de 500 à recevoir leurs cadeaux. Mais nos activités sont en continu. On soutient les enfants démunis dans les ordonnances, les opérations, les denrées alimentaires. On leur fourni aussi du lait, des couches. On travaille également avec les assistants sociaux dans les pédiatries. Quand il y a des malades démunis, ils font appel à nous et puis on fait des collectes, on achète des médicaments. Il arrive même qu’on fasse des évacuations à l’étranger pour les enfants malades démunis », ajoute Mme DIOGO.

Moussa SENE

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